Dans l’univers du design thinking et de la facilitation, certains outils se distinguent par leur simplicité… et leur puissance. Le photolangage en fait partie. Accessible, visuel, symbolique, il permet à chacun de s’exprimer autrement que par les mots — en activant l’intuition, l’émotion, et la créativité.
Le photolangage agit comme un miroir. Il reflète ce que l’on perçoit, ce que l’on ressent, ce que l’on n’arrive pas toujours à formuler. En l’utilisant, on :
C’est un outil d’émergence, qui rend visible l’invisible.
Voici quelques façons concrètes de l’utiliser en facilitation ou accompagnement :
L’un de nos usages préférés du photolangage, que nous avons développé dans nos accompagnements, est la création de fresques d’ouverture.
Lors d’un tour de présentation, chaque participant choisit une carte en lien avec le thème ou avec son état d’esprit. Ces cartes sont ensuite affichées au mur ou sur un support mural digital. J’y ajoute en direct des éléments de facilitation graphique : mots-clés, liens entre cartes, schémas, citations entendues, etc.
On obtient une trace visuelle sensible et collective, qui donne une image vivante de l’énergie du groupe.
Ce croisement entre photolangage et pensée visuelle est un vrai plus :
Tout dépend de l’effet recherché :
Cela fait des années que nous utilisons cet outil, et pourtant, nous continuions d’en inventer de nouveaux usages au fil de nos formations et animations d’ateliers de co-design, design sprints et séminaires.
Aujourd’hui, nous concevons mon propre jeu de photolangage, déjà disponible en version numérique dans un template Mural pour les membres du Design Social Club ayant souscrits aux programmes Globe Trotter et Sherpa.
Nous avons rassemblé nos icebreakers favoris dans un e-book à télécharger gratuitement :
“20 Icebreakers ”
🔹 Des idées concrètes
🔹 Des conseils d’animation
🔹 Des variantes testées sur le terrain
Que vous soyez formateur·rice, facilitateur·rice, coach ou manager, ce guide est fait pour vous !